Débat Électoral 1997

[Gouverneur Général]

En cette soirée du lundi 28 août 1997 se tiendra le débat électoral au cours duquel s'affronteront les chefs des différents partis nationaux Kergaliciens. En temps réel, le débat se déroulera sur plusieurs jours afin d'assurer sa fluidité; en pratique, il ne durera que le temps d'une soirée, deux heures tout au plus.

L'importance du débat n'est pas à négliger. Il pourrait facilement faire pencher la balance.

Sont conviés au débat messieurs Mikaël Berton-Johänsson, du Labour-Socialist Party, Robert Thornton, du Conservative Party et Canh Thi Lê, du Liberal Party.

Le débat est lancé sur l'énoncée suivante. Les chefs sont invité à débattre et à critiquer les options envisageables face à cette dernière.
" Le Kergalec d'aujourd'hui est formé de gens en provenance de différents horizons, de différentes cultures. Notre histoire témoigne des coutumes de différents peuples, le tout premier à avoir peuplé et bâti la nation étant bien sur le peuple Britannique. Dans cette perspective, quelle est la vraie culture du Kergalec? "

Le débat peut débuter.

[Robert Thornton]

Il est bien difficile de définir avec certitude la culture du Kergalec. Je crois que notre culture est de base Britanique mais qu'elle est influancé et nuancé par une multitude d'autre culture comme la culture vietnamienne, allemande et autre. Les gens vivent en grande partie à la Britanique, toutefois plus autre cultures influances leur mode de vie. Je crois que la culture du Kergalec, c'est une base Britanique arrosé d'un melting-pot des cultures que les immigrants importes avec eux.

[Ismaïl Al'Mansour]

Je me permet de prendre la place de M. Berton-Johanssön étant maintenant le nouveau chef.

Je favorise personnellement le développement, l'ouverture d'esprit et l'intégration dans une société sur laquelle ou peut s'identifier encore plus que sur sa race. Je vois chaque personne qui m'écoute en se moment, chaque personne que je côtoie quotidiennement et chaque personne qui réside à Kergalec comme des Kergaliciens et Kergaliciennes. je veux encourager une tolérance qui permettra à tous de voir en chaque Kergaliciens d'une autre couleur que la sienne, tout comme moi, un confrère et non un immigrant ou un membre d'une autre race. Je veux que la citoyenneté Kergalicienne devienne la priorité dans l'esprit des gens.

[Canh Thi Lê]

Je suis d'accord avec monsieur Al'Mansour, mais j'irai encore plus loin en répondant directement à la question.
La vraie culture du Kergalec est, comme je l'ai toujours affirmé, celle des gens qui y vivent, qui qu'ils soient, d'où qu'ils viennent. Est Kergalicien qui veut bien l'être, qui est prêt à agir pour en devenir un et faire vivre cette appellation.
En ce sens, je ne crois pas que la culture Kergalicienne soit essentiellement Anglo-Britannique. Peut-être l'a-t-elle été un temps lointain, mais cette époque est révoquée. La culture Kergalicienne est un amalgamme indissociable de différentes cultures.

Que je sois Asiatique, noire ou blanche, quand je dis que suis Kergalicienne, je ne dis pas que je suis Britannique.
Je dis que je suis Latino-Américaine, Allemande, Russe, Vietnamienne, Arabe, Italienne, Africaine, Grecque et plus encore!

[Gouverneur Général]

Afin que le débat puisse conserver sa fluidité voici un autre sujet.

" Le taux de diplômation des jeunes Kergaliciens est particulièrement bas. En effet, jusqu'à un élève sur quatre n'entreprenda aucune études supérieures lors de l'obtention de son diplôme d'études secondaires, généralemetn à dix-sept ans. Dans une économie mondialisée où l'éducation est primordiale, quel avenir attend un Kergalec où la main d'oeuvre est mal formée? "

[Ismaïl Al'Mansour]

Et bien, certainement pas un avenir florissant, voilà pourquoi il faut y remédier. L'éducation est importante. Il faut trouver des solutions pour encourager les jeunes étudiants à faire leur études collégial au moins, voir même aller jusqu'à subventionner les institutions pour qu'ils baissent leurs prix. Sensibiliser les jeunes à leur avenir, par exemple en leur faisant passer un test d'aptitude pour leur faciliter le choix d'un emploie. 25% qui ne font pas d'étude avancé est inacceptable.

[Canh Thi Lê]

Un avenir sombre, très sombre.

Un gouvernement Libéral s'attardera à rendre le milieu scolaire plus adéquat et à favoriser la réussite scolaire tout en prévenant les jeunes de cesser leurs études. Tout cela passe par du financement et des programmes de prévention auprès de la clientèle concernée.

De plus, il est à observer, éventuellement et à l'image de l'Allemagne, une amende dissuasive proportionnelle au salaire des parents en cas d'abandon des études avant l'obtention d'un diplôme à l'école Secondaire.

Mais, bien sur, après l'instauration de ces mesures rendant accessibles les études, il y a d'autres solutions que de forcer nos citoyens contre leur gré à poursuivre des études dont ils n'ont pas envie. Et la réponse est bien entendue l'immigration; l'acceuil d'une main d'oeuvre compétente et diplômée assurera indéniablement l'avenir du Kergalec.

Avec les Libéraux, tous les éléments seront entre les mains du gouvernement pour faire face à l'économie de l'avenir!

[Robert Thornton]

Pour ma part, je crois que sela par la sensibilisation des jeunes. Les sensibilisés aux avantages qu'offre les formations supérieurs tant au niveau du salaire que des conditions de travaille. Il est primordial ,pour le Kergalec puisse progressé, de mieux formé nos futurs travailleur et ceux qui sont déjà sur le marché du travaille. Des subventions à la formation des travailleur seront subventionné pour mettre et garder à jour notre main-d'oeuvre.

Je crois que l'idée d'une amende pour les décrocheurs est totalement inaproprié! Garder un doubleur sur les bancs d'école jusqu'à ce qu'il complette son secondaire couterait énorment cher à l'état. Couterais plus cher que ce que l'amende pourrait leur raporter. Deplus je trouve cette idée imorale!

[Canh Thi Lê]

Un doubleur n'est pas nécessairement un décrocheur. Révisez vos synonymes.

Un doubleur à répétition devra se voir offrir des services spécialisés répondant à ses besoins pédagogiques. Un doubleur est certes un fardeau, mais n'est pas une pertes.

Un décrocheur en est un. Alors je juge qu'une amende c'est bien peu de chose pour avoir un bassin de travailleur qualifié dans le Kergalec de demain!

[Robert Thornton]

Mais voyons, forcer un décrocheur à rester sur les bancs d'école part moyen d'amende fera de lui un doubleur!

La sensibilisation des jeunes au avantage de completter des études secondaire, colégiale ou universitaire reste le moyen le plus efficace pour motivé ces ''Décrocheur''.

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